Une étude récente menée par l’Institut de cardiologie de l’Université d’Ottawa (ICUO) et l’Institut de recherche en services de santé (IRSS) a révélé que les patients ayant bénéficié du MOAT :
- étaient plus nombreux à continuer de vivre sans fumée après six mois que les patients n’ayant pas bénéficié du MOAT (35 % contre 20 %);
- avaient 50 % moins de risques d’être réadmis à l’hôpital (peu importe la cause) et 30 % moins de risque de devoir se rendre dans un service d’urgence dans les 30 jours suivant l’hospitalisation initiale;
- avaient 21 % moins de risques d’être réhospitalisés et 9 % moins de risques de devoir se rendre dans un service d’urgence dans les deux ans suivant leur hospitalisation initiale;
- voyaient leurs risques de décès diminuer de 40 % sur deux ans.
Les approches comme le MOAT permettent de réduire le recours futur au système de santé, mais surtout, d’accroître le mieux-être de nos patients fumeurs.